En 2011, deux index d’évaluation de l’espérance de vie viennent compléter les outils existants et permettent une estimation à dix ans. L’US Preventive services task force a réévalué l’utilité du dosage du PSA (antigène prostatique spécifique) pour le dépistage du cancer de la prostate, et a conclu à une probable absence de bénéfice sur la mortalité à dix ans. Une étude décrit une thérapie comportementale brève de l’insomnie, permettant d’améliorer les troubles du sommeil. Plusieurs études viennent préciser la place des gliptines dans le traitement du diabète de type 2 chez les personnes âgées, et confirment leur place comme alternative intéressante pour diminuer le risque d’hypoglycémie chez celles qui sont fragiles. De nouveaux critères diagnostiques de la maladie d’Alzheimer combinent biomarqueurs du liquide céphalorachidien, neuro-imagerie et critères cliniques.
Avec l’avance en âge, le maintien d’une activité physique régulière est déterminant pour conserver les capacités fonctionnelles nécessaires aux activités de la vie quotidienne. Cependant, la sédentarité est encore trop répandue chez les adultes âgés, notamment par crainte de péjorer des problèmes de santé par l’exercice physique, alors même que les symptômes de leurs pathologies chroniques pourraient s’en trouver soulagés.
Au vu de ce constat, la promotion de l’activité physique est l’une des cinq thématiques prioritaires du projet «Via» – Bonnes pratiques de promotion de la santé des personnes âgées, mené par Promotion Santé Suisse, dont cet article résume les recommandations.
Les services d’urgence seront en première ligne pour affronter, durant ces vingt prochaines années, la cohorte des baby-boomers vieillissant. Pour ces services, les enjeux sont aussi bien quantitatifs que qualitatifs, et de nombreux modèles ont été développés pour favoriser l’apport de compétences gériatriques dans l’activité des services d’urgence. Cet article rappelle brièvement ces principaux enjeux et décrit les modèles de prise en charge développés pour les affronter le mieux possible et continuer à offrir à ces patients les meilleurs soins dans le futur.
Les chutes chez les personnes âgées sont fréquentes. Elles sont parfois grevées de lésions sérieuses et ont un impact majeur sur la mortalité, la morbidité et le déclin fonctionnel de cette population. Même si l’efficacité de modèles d’interventions multifactorielles, pour diminuer le risque de chute chez les personnes âgées, est bien documentée, ces mesures sont sous-utilisées dans notre système de santé. Le recours aux urgences pour une chute représente l’occasion de s’y intéresser et d’initier une prise en charge spécifique, sans pour autant ralentir l’activité des urgences. Cet article présente quelques outils simples pour aider le clinicien dans sa prise en charge d’un patient âgé chuteur, de même que pour décider d’une orientation adaptée à la sortie des urgences.
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